… Car il reste à porter le coup définitif…
Lors de la résidence le Silence de Tiresias du Groupe anonyme à Grande Synthe en 2010, j’ai mené un long travail avec des habitants en lutte, quelle qu’elles soient.
Cela a abouti à l’exposition « … Car il reste à porter le coup définitif » à la galerie Robespierre, présentant des portraits de ces habitants, occupant l’espace public avec les outils de leurs luttes, ainsi qu’une série de paysages correspondant à leurs visions de leur cité.
L’exposition était complétée par une série de textes issus d’entretiens menés par Stéphanie Maurice.